Poetes...
Guits et Gutio ont pris l'esprit poète. Quel beau texte ! C'est vrai qu'au moment où on rentre d'un périple étranger, on se sent tout chose... Et quand on revoit les gens qu'on avait laissé au pays, il y a comme un décalage entre ce que l'on a vécu et ce que eux ont vécu. Une impression d'être un peu à l'ouest. Alors qu'on s'est enrichi d'une experience extraordionaire, on retrouve ceux qui font notre quotidien, les mêmes, qui n'ont pas connu une telle aventure, et qui nous semblent du coup un peu...communs. Et puis nos habitudes reviennent bien vite et tout nous semble déjà si loin. C'est là où on se rend compte de l'immense chance que nous avons de voyager, vivre ces moments uniques, incroyables.
Nous sommes tous des enfants pourris gatés...
Merci à Zorro de bien vouloir nous apporter sa sainte parole à ces propos.
Bernardo Chapalinos.